En souscrivant à un contrat d’assurance-vie, tout le monde se pose toujours la question s’il est possible de défiscaliser ses placements. En effet, l’assurance-vie présente beaucoup d’avantages en matière de fiscalité mais sous conditions. Mais avant de parler de cela, il importe de savoir le système de taxation d’une assurance-vie.
La taxation des revenus d’une assurance-vie
D’abord, lire cet article ici vous permettra d’avoir plus d’idée sur le système de défiscalisation en assurance vie. Puis, il vous permet de comprendre la taxation des gains pour ce type de placement. Ainsi, sachez que la taxation des revenus change suivant votre type de contrat. Ce qui permet de dire que plus votre contrat d’assurance-vie est ancien, moins vous paierez d’impôts. La taxation d’un assuré qui vient de souscrire à un contrat est donc différente de celle qui est déjà assuré par une compagnie d’assurance depuis des années. Ensuite, elle varie aussi en fonction de la durée de détention de l’assurance. Et puis, le terme du contrat en cas de décès de l’assuré.
La fiscalité en cas de rachat et en cas de décès
A cela s’ajoute la défiscalisation en cas de rachat du capital. Elle dépend de l’ancienneté du contrat tout comme le mécanisme d’imposition appliquée lors d’un rachat partiel. Donc, plus l’assurance est ancienne, moins l‘assuré aura d’impôt sur sa plus-value et sur ses intérêts. Pourtant, en cas de décès de l’assuré, l’assurance-vie est un atout très profitable. Elle permet une transmission du capital en cas de décès. L’assurance-vie est indépendante des régimes successoraux. Par contre, elle bénéficie d’une fiscalité irréprochable. À ce propos, sachez que les modalités concernant la défiscalisation varient en fonction de plusieurs éléments comme l’âge de l’assuré durant ses périodes de versements par exemple.